James Bond: 50 ans de style

Durant 50 ans, 24 films, de nombreuses destinations exotiques, des douzaines de filles superbes, une vingtaine de super méchants, et on ne compte plus combien de vodka martini, James Bond n’est pas seulement resté vivant mais est devenu le symbole du gentleman accompli. Quel que soit la voiture, les gadgets ou le costume, Bond ne rate jamais son coup.

A l’occasion de l’exposition JAMES BOND, 007 l’exposition, 50 ans de style Bond, on vous propose de passer en revue les différents styles de lunettes que l’agent secret a porté.

Dans le tout premier 007, James Bond 007 contre Dr. No (1962), James Bond ne porte pas de lunettes de soleil. En effet, la seule paire que l’on peut voir à l’écran est portée par son partenaire américain. Le modèle exact n’est pas connu, mais il serait inhabituel de voir cette forme œil-de-chat portée par un homme de nos jours !

Dans le James Bond suivant, Bons baisers de Russie (1963), le super espion lui-même porte une paire de solaires, bien que la première fois qu’on le voit avec est à l’intérieur de la fameuse Sainte Sophie à Istanbul, pas vraiment adapté. Pour la culture générale, ceette paire est le modèle « Consul » de la marque Oliver Goldsmith, toujours fabriqué de nos jours !

Dans Opération Tonnerre (1965), James Bond apparait portant un des premiers exemples de verres polarisés : les Polaroid Cool Ray N135. Comme pour l’ensemble des gadgets utilisés par 007 au fil des ans, il est toujours à la pointe de la technologie.

On ne sait pas pourquoi mais les lunettes de soleil ont pratiquement disparu de l’univers de James Bond durant les 20 années suivantes, bien qu’elles reviennent au tout premier plan en 1985 avec Dangereusement vôtre. Les très rares Willy Bogner 7003  Eschenbach font une apparition au début du film, quand 007 est en Sibérie. Plus tard, déguisé en “James St. John Smythe” dans le domaine de son ennemi dans le nord de la France, Bond porte une paire de Persol customisée qui lui permet de voir à travers une vitre teintée.

On fait un bond en avant jusqu’à la période des années 90, et GoldenEye (1995). Dans ce film, l’espion porte une paire de Persol qui n’est plus fabriqué de nos jours, les 2611-S, pendant son voyage à Cuba.

Dans  Le monde ne suffit pas (1999), les lunettes de soleil jouent à nouveau un rôle actif dans l’intrigue du film. Cette fois-ci, c’est une paire de lunettes customisées avec des verres bleus (les ANT BLUE 50X19, si vous vous posez la question). Dans la scène du casino, James Bond les utilise pour découvrir grâce aux rayons-X  les différentes armes de ses ennemis dans la pièce. Dans le même film, l’espion porte une paire de Calvin Klein modèle 2007 durant une poursuite en ski.

Le film  Meurs un autre jour (2002), renvoie Bond à Cuba, de nouveau avec des Persol (la palette de couleur la plus célèbre chez Persol est Havane, simple coïncidence?). Ce modèle, les Persol 2672, a été spécialement créé pour le film, et la marque a affirmé que ces lunettes étaient spécialement conçues pour correspondre à la personnalité du personnage, à la fois élégantes et sophistiquées.

Bien que le film suivant de la série, Casino Royale (2006),  accueille un nouvel acteur pour endosser le costume de 007, Bond reste fidèle à Persol pour le choix de ses lunettes. Dans la première partie du film, l’espion porte le modèle 2244 qui possède une forme rectangulaire métallique et dans la seconde partie, les 2720, plus classiques, sorties en édition spéciale pour le film.

Dans Quantum of Solace (2008), le modèle exact porté par Bond fut le sujet de débats houleux parmi les fans de 007, car les Tom Ford 108 qui apparaissent dans le film semblent être la réplique identique d’un ancien modèle d’Oliver Peoples, Airman, qui n’est plus commercialisé. La légende raconte que la production avait initialement choisi les Airman, mais Tom Ford, qui possédait déjà un contrat pour créer les costumes de James Bond dans le film, réalisa une copie du modèle (les Tom Ford 108), que l’acteur portera au final.

Le partenariat avec Tom ford continue pour Skyfall (2012). Néanmoins, cette fois ce n’est pas une édition spéciale produite pour le film mais un modèle standard de la marque, les lunettes de soleil MARKO (FT0144), qui sont toujours disponibles.

Dans le dernier James Bond en date, Spectre (2015), James Bond porte à nouveau des solaires Tom Ford, les SNOWDON (FT0237).

En plus des lunettes Tom ford, Bond porte une paire de Vuarnet Glacier, une paire forme pilote revisitée avec des empiècements en cuir sur les côtés.

L’exposition James Bond, 007 se déroulera du 16 avril au 4 septembre à la grande halle de la Villette à Paris.

James Bond: 50 ans de style

Durant 50 ans, 24 films, de nombreuses destinations exotiques, des douzaines de filles superbes, une vingtaine de super méchants, et on ne compte plus combien de vodka martini, James Bond n’est pas seulement resté vivant mais est devenu le symbole du gentleman accompli. Quel que soit la voiture, les gadgets ou le costume, Bond ne rate jamais son coup.

A l’occasion de l’exposition JAMES BOND, 007 l’exposition, 50 ans de style Bond, on vous propose de passer en revue les différents styles de lunettes que l’agent secret a porté.

Dans le tout premier 007, James Bond 007 contre Dr. No (1962), James Bond ne porte pas de lunettes de soleil. En effet, la seule paire que l’on peut voir à l’écran est portée par son partenaire américain. Le modèle exact n’est pas connu, mais il serait inhabituel de voir cette forme œil-de-chat portée par un homme de nos jours !

Dans le James Bond suivant, Bons baisers de Russie (1963), le super espion lui-même porte une paire de solaires, bien que la première fois qu’on le voit avec est à l’intérieur de la fameuse Sainte Sophie à Istanbul, pas vraiment adapté. Pour la culture générale, ceette paire est le modèle « Consul » de la marque Oliver Goldsmith, toujours fabriqué de nos jours !

Dans Opération Tonnerre (1965), James Bond apparait portant un des premiers exemples de verres polarisés : les Polaroid Cool Ray N135. Comme pour l’ensemble des gadgets utilisés par 007 au fil des ans, il est toujours à la pointe de la technologie.

On ne sait pas pourquoi mais les lunettes de soleil ont pratiquement disparu de l’univers de James Bond durant les 20 années suivantes, bien qu’elles reviennent au tout premier plan en 1985 avec Dangereusement vôtre. Les très rares Willy Bogner 7003  Eschenbach font une apparition au début du film, quand 007 est en Sibérie. Plus tard, déguisé en “James St. John Smythe” dans le domaine de son ennemi dans le nord de la France, Bond porte une paire de Persol customisée qui lui permet de voir à travers une vitre teintée.

On fait un bond en avant jusqu’à la période des années 90, et GoldenEye (1995). Dans ce film, l’espion porte une paire de Persol qui n’est plus fabriqué de nos jours, les 2611-S, pendant son voyage à Cuba.

Dans  Le monde ne suffit pas (1999), les lunettes de soleil jouent à nouveau un rôle actif dans l’intrigue du film. Cette fois-ci, c’est une paire de lunettes customisées avec des verres bleus (les ANT BLUE 50X19, si vous vous posez la question). Dans la scène du casino, James Bond les utilise pour découvrir grâce aux rayons-X  les différentes armes de ses ennemis dans la pièce. Dans le même film, l’espion porte une paire de Calvin Klein modèle 2007 durant une poursuite en ski.

Meurs un autre jour (2002) renvoie Bond à Cuba, de nouveau avec des Persol (la palette de couleur la plus célèbre chez Persol est Havane, simple coïncidence?). Ce modèle, les Persol 2672, a été spécialement créé pour le film, et la marque a affirmé que ces lunettes étaient spécialement conçues pour correspondre à la personnalité du personnage, à la fois élégantes et sophistiquées.

Bien que le film suivant de la série, Casino Royale (2006),  accueille un nouvel acteur pour endosser le costume de 007, Bond reste fidèle à Persol pour le choix de ses lunettes. Dans la première partie du film, l’espion porte le modèle 2244 qui possède une forme rectangulaire métallique et dans la seconde partie, les 2720, plus classiques, sorties en édition spéciale pour le film.

Dans Quantum of Solace (2008), le modèle exact porté par Bond fut le sujet de débats houleux parmi les fans de 007, car les Tom Ford 108 qui apparaissent dans le film semblent être la réplique identique d’un ancien modèle d’Oliver Peoples, Airman, qui n’est plus commercialisé. La légende raconte que la production avait initialement choisi les Airman, mais Tom Ford, qui possédait déjà un contrat pour créer les costumes de James Bond dans le film, réalisa une copie du modèle (les Tom Ford 108), que l’acteur portera au final.

Le partenariat avec Tom ford continue pour Skyfall (2012). Néanmoins, cette fois ce n’est pas une édition spéciale produite pour le film mais un modèle standard de la marque, les lunettes de soleil MARKO (FT0144), qui sont toujours disponibles.

Dans le dernier James Bond en date, Spectre (2015), James Bond porte à nouveau des solaires Tom Ford, les SNOWDON (FT0237).

En plus des lunettes Tom ford, Bond porte une paire de Vuarnet Glacier, une paire forme pilote revisitée avec des empiècements en cuir sur les côtés.

L’exposition James Bond, 007 se déroulera du 16 avril au 4 septembre à la grande halle de la Villette à Paris.

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